Maggie Agathéon<p><a href="https://toot.portes-imaginaire.org/tags/JdrSolo" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener" target="_blank">#<span>JdrSolo</span></a> <a href="https://toot.portes-imaginaire.org/tags/chroniquesdunedivinite" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener" target="_blank">#<span>chroniquesdunedivinite</span></a> </p><p>Suite des chroniques d'Erésithra : Le temps avance ; les temps changent. Nous sommes au XVIIIe siècle. Une déesse amoureuse d'un mortel, est-ce possible ? <br>Une nouvelle légende : "1749. Aylin a depuis longtemps disparu, mais est restée un souvenir chéri, que je revois régulièrement dans le monde onirique. De nombreux autels ont été dressés en mon nom, au cœur des forêts et des bosquets, dans les esprits des créateurs. Ils sont bien plus discrets que les immenses cathédrales du dieu unique des catholiques. Estienne m’aide à oublier le temps qui passe et les choses qui changent. C’est un vieil esprit dans un corps jeune, qui s’inspire de moi pour écrire ses vers. Son amour est un fanal vers lequel mon esprit attristé vole. Pour être avec lui, dans la ville de Paris du XVIIIe siècle, j’abandonne ma pierre de lune, l’Oninarium, pour avoir la chance de vivre pleinement cet amour."<br><a href="https://nebuleusesdhistoires.fr/les-chroniques-deresithra/" rel="nofollow noopener" translate="no" target="_blank"><span class="invisible">https://</span><span class="ellipsis">nebuleusesdhistoires.fr/les-ch</span><span class="invisible">roniques-deresithra/</span></a></p>